Une des bonnes choses apportées par les nouvelles technologies a été d’apporter leur soutien dans le domaine de la santé. Aujourd’hui, grâce à la domotique, ce secteur est particulièrement prisé par les investisseurs. Les avancées sont nombreuses, et ce, pour le plus grand bonheur des patients.
Exit la psychose du membre fantôme
Militaire, victime d’un accident, patient d’une opération d’amputation, et bien d’autres, tous n’auront plus à vivre avec le syndrome du membre fantôme. Quelques sociétés d’usinage médicales proposent des bras et des jambes, aussi vraies que nature, à même de remplacer les membres perdues.
Ce genre de traitement n’en est plus à sa phase expérimentale. Nombreux sont ceux qui en font usage au quotidien. Un coureur professionnel avec des jambes artificielles, un pianiste avec bras électronique : ce sont les quotidiens des hommes actuellement. C’est une avancée majeure aussi bien pour le confort des patients, que pour limiter les stigmatisations en tout genre.
Des appareils de chirurgie beaucoup plus performants
Les entreprises de domotique ne se sont pas arrêtées là. Elles se sont également donné pour but l’amélioration des prises en charge médicales. Pour ce faire, elles proposent désormais des équipements plus robustes et des appareils plus performants, aussi bien dans le domaine des suivies que celui des chirurgies.
Une opération des yeux au laser pour traiter la myopie, une intervention avec une minicaméra et des minipinces : moult d’entre les hôpitaux français sont actuellement doté de telles technologies. Les risques à chaque intervention sont de plus en plus minimes.
Dans le monde de demain, un chirurgien pourra opérer à distance un patient. Une approche qui pourra sauver de nombreuses vies. En matière de prise en charge santé, chaque seconde compte, tout comme la minutie.
Des frais de soins optimisés
Cependant, la mise à disposition de ces appareils sophistiqués présente des inconvénients de taille. On parle notamment du prix des soins. Ils ne sont pas à la portée de tous. Et dans la mesure où les assurances ne peuvent couvrir une petite partie, une grande partie des particuliers doivent encore s’en passer.
En outre, les traitements expérimentaux ne sont pas du tout couverts par les caisses maladies et les assureurs.
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